"La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour eiffel" de Romain PUERTOLAS
Titre : La petite fille qui avait avalé un nuage grand comme la tour Eiffel
Auteur : Romain Puertolas
Edition : Le Dillettante
Année de parution : 2015
Nombre de pages : 252
4ième de couverture :
Pour Providence Dupois, la vie, c'est un peu comme la mayonnaise : plus on s'agite et plus on a de chances de la réussir. Alors que la jeune et jolie factrice parisienne s'apprête à partir en Afrique chercher la petite fille qu'elle aime le plus au monde, un volcan islandais se réveille, paralysant l'ensemble du trafic aérien européen. D'aéroport en monastère tibétain, commence alors pour elle le plus haletant et le plus prodigieux des voyages. L'amour donne des ailes.Êtes-vous prêt à vous envoler ?
L'auteur :
Né en 1975 dans la belle ville de Montpellier (comment ça, je ne suis pas objective ??!), Romain Puertolas a eu plusieurs vies avant de devenir l'écrivain que l'on connait. Professeur de langues, traducteur-interprète il a même un diplôme en météorologie de Météo-France (ce qui explique peut-être sa propension pour les nuages !). Auteur du roman "L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea" (oui il fait parti de ces auteurs qui aiment les titres énigmatiques à rallonge), il sort son prochain romain en octobre 2015.
Mon avis :
J'ai craqué, j'ai acheté un livre juste parce que je trouvais la couverture jolie... C'était ce roman de Romain Puertolas.
Bon, j'avoue que j'avais quand même entendu parler un peu de l'auteur parce que 1/il est de Montpellier et j'habite Montpellier et 2/physiquement il est plutôt pas mal (enfin, ça se discute mais il est quand même plus près d'Alain Delon que de Mister Bean).
Le début a commencé sur les chapeaux de roue. Tout y était : le style, l'humour, des personnages bien construits et sortant de l'ordinaire. Mais à un moment, je me suis lassée. Le côté farfelu m'a quelque peu destabilisé (je dois avoir perdu mon âme d'enfant, snif !). J'ai quand même tenu le coup jusqu'au bout (je venais juste d'abandonné un autre bouquin juste avant, et 2 livres abandonnés à la suite pour la livrophage que je suis, ça l'fait pas) et j'ai bien fait finalement.
L'auteur s'en sort finalement bien, et au moment où on se demande si il sait vraiment dans quelle direction va son roman, il retombe sur ses pieds. Il nous ramène à la réalité tout en laissant une part de son histoire au milieu des nuages.